Le mois d'avril est le mois de la sensibilisation à la rosacée. Si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que cela fait maintenant des années, pour ne pas dire une décennie, que je souffre de cette maladie de peau. À l'époque, la rosacée (qui était encore bien souvent appelée "acné rosacée") n'était pas très connue et peu/mal diagnostiquée. Aujourd'hui, les choses ont quand même évolué. Bien que sur le plan médical, le traitement miracle n'existe toujours pas — on ne guérit pas de la rosacée, il y a juste des périodes où la maladie est latente —, on trouve désormais beaucoup de témoignages sur le sujet et le marché des produits de dermocosmétique spécialement dédiés aux peaux à rosacée s'est grandement développé.
De mon côté, je fais mon petit bonhomme de chemin avec cette affection cutanée. Il y a des périodes où ma peau va bien (même très bien), et d'autres où c'est un peu plus compliqué, comme en ce moment. Et c'est d'ailleurs bien souvent la cata au printemps. Mon dernier billet relatif à la rosacée sur le blog date de 2019. Depuis, il s'en est passé des choses. Déjà, je suis tombée enceinte ; et après la naissance de ma seconde fille, ma rosacée a complètement explosé. Le cocktail bouleversement hormonal + fatigue + stress a considérablement dégradé l'état de ma peau.
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