Mardi 20 décembre. Affalée dans mon canapé, enrubannée dans mon plaid et les yeux rivés sur le 375ème téléfilm de Noël du mois de décembre de TF1, j'essaye tant bien que mal de lutter contre une gastro dévastatrice qui, malgré mes 12 sachets de Smecta, mes 36 gélules d'Ultra-Levure et mes 37 Doliprane quotidiens, ne passe définitivement pas. Je suis une loque et j'ai la loose. Je jette un oeil à mon sapin de Noël, la mort dans l'âme, me disant que les fêtes de cette fin d'année 2016 (que j'attendais tant !) risquent fort d'être gâchées. Je regarde ce fichu téléfilm de Noël et je me mets à chouiner quand le Prince de je-ne-sais-quel château de je-ne-sais-quel patelin du grand Nord demande en mariage cette nana : une nana lambda sur le script, mais une nana qui a toujours un brushing, des ongles et des faux cils impeccables. Pas de doute, je suis faible.
14h53, c'est la pub. Je suis alors prise d'une envie aussi soudaine qu'irrépressible (non, pas celle à laquelle vous pensez... #laissezmagastrotranquille !) : prendre un rendez-vous chez le coiffeur !! Ça m'arrive à peu près 25 fois dans l'année et il y a 99% de chances pour que ma nouvelle lubie n'aboutisse à rien et que je ne décroche jamais ce foutu téléphone pour prendre rendez-vous. Mais là, c'était trop ! Magie de Noël ou effets secondaires de ma gastro, j'ai composé le fameux numéro de téléphone qui me fiche la frousse : celui de mon salon de coiffure. Une place le 24 décembre ? Ok, soyons fous ! Inutile de vous dire que la barbierophobe qui sommeille en moi n'en menait pas large le 23 au soir, et encore moins le 24 à 13h58, heure à laquelle j'ai poussé la porte du salon.
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14h53, c'est la pub. Je suis alors prise d'une envie aussi soudaine qu'irrépressible (non, pas celle à laquelle vous pensez... #laissezmagastrotranquille !) : prendre un rendez-vous chez le coiffeur !! Ça m'arrive à peu près 25 fois dans l'année et il y a 99% de chances pour que ma nouvelle lubie n'aboutisse à rien et que je ne décroche jamais ce foutu téléphone pour prendre rendez-vous. Mais là, c'était trop ! Magie de Noël ou effets secondaires de ma gastro, j'ai composé le fameux numéro de téléphone qui me fiche la frousse : celui de mon salon de coiffure. Une place le 24 décembre ? Ok, soyons fous ! Inutile de vous dire que la barbierophobe qui sommeille en moi n'en menait pas large le 23 au soir, et encore moins le 24 à 13h58, heure à laquelle j'ai poussé la porte du salon.